« Bien faire les bonnes choses », ce slogan de bon sens pour tout citoyen est rien moins qu'évident à mettre en œuvre ! À quoi sert l'État ? Qu'est-ce qu'une bonne politique ? Comment en mesurer les effets ? Qu'est-ce qui est constant depuis la naissance de l'État moderne ? Qu'est-ce qui est spécifique à la IIIe révolution industrielle ? L'auteur plaide pour mettre la politique aux commandes – nos comptes peuvent être exacts (bien faire les choses) et nos politiques mauvaises (faire les mauvaises choses) – et s'inscrit contre la vogue de la « bonne gouvernance » prônée par les organisations internationales. Il n'en délaisse pas pour autant les techniques de gestion qui permettent aujourd'hui de concevoir des dispositifs publics innovants et performants : le lecteur trouvera en ce livre l'état de l'art des méthodes de gestion, illustré de nombreux exemples. Il trouvera également ici une revue de la littérature sur le rôle des politiques publiques ouvrant des perspectives bien différentes de ce qu'il est habitué d'entendre. L’auteur, professeur d’université qui a occupé des fonctions dirigeantes dans le secteur privé et dans le secteur public, apporte ici à la fois le fruit de ses recherches et de son expérience de terrain. Sa conception et sa facture sont extrêmement originales, son ton incisif et sa portée plus que pédagogique. Le tout est riche sans être jamais foisonnant ou confus, ni dépourvu d’humour. Un ouvrage indispensable pour qui veut y voir clair dans le débat confus sur le rôle de l’Etat et de la dépense publique ! » De Boeck Editions - Présentation générale - L'auteur - Accueil |
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Ces pages permettront aux lecteurs de retrouver les sources de l'ouvrage et d'accéder à des compléments que je mettrai en ligne quand des nouveautés me sembleront intéressantes à la compréhesion du sujet. Pour débattre des problèmes de politique publique soulevés, j'ai créé un site dédié sur LinkedIn par lequel vous pouvez me contacter. Commentaires: |
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Réplique de Socrate dans Gorgias, Platon « Tandis que l'homme se complaît dans cette recherche honnête et légitime du bien-être, il est à craindre qu'il ne perde enfin l'usage de ses plus sublimes facultés, et qu'en voulant tout améliorer autour de lui, il ne se dégrade enfin lui-même. C'est là qu'est le péril, et non point ailleurs. Il faut donc que les législateurs des démocraties et tous les hommes honnêtes et éclairés qui y vivent, s'appliquent sans relâche à y soulever les âmes et à les tenir dressées vers le ciel. Il est nécessaire que tous ceux qui s'intéressent à l'avenir des sociétés démocratiques s'unissent, et que tous, de concert, fassent de continuels efforts pour répandre dans le sein de ces sociétés le goût de l'infini, le sentiment du grand et l'amour des plaisirs immatériels. » Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique, II- XV
Leo Strauss, Qu’est-ce qu’une éducation libérale ?, in Le libéralisme antique et moderne
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